lundi 20 mai 2013

Tableausphère


J’ai appris à mes dépens,
Que dessiner  du large  pinceau de l’amour,
Ce monde mélancolique et si étrange qui m’entoure,
Ne s’incarnerait pas par le rendre plus joyeux,
Car aimer renferme des travers bien douloureux .

 J’ai observé avec assiduité ,
Pour découvrir que cela constitue sa beauté,
Si le cœur provoque parfois de tristes larmes,
La souffrance de ce tableau détient son  charme.

 6 milliards à sa recherche définit l’homme,
Il  rêve bonheur à croquer cette rouge pomme,
Qu’elle anesthésie ses peines au bois dormant,
Où sept nymphes protègent ses sentiments.

 Nous voulons oublier que l’être aimé se perd,
Que l’amour est comme tout, bipolaire.

 

vendredi 19 avril 2013

Elle aime, qu'est-ce qu'elle aime


Elle aime, qu'est-ce qu'elle aime,
Elle aime tellement Dieu,
Le retrouve dans chacune de ses créatures,
Et l'imagine en contemplant la nature,
Le regard aussi radieux que les cieux.

Elle aime qu'est-ce qu'elle aime,
Elle aime tant, elle aime aimer,
Elle aime sans compter,
L'amour est l'or qu'elle a hérité,
De notre père, le prince de paix.

Elle aime qu'est-ce qu'elle aime,
Ces inconnus qui lui offrent un sourire,
Ces magnifiques saphirs,
Qui faisant briller leurs visages,
Représentent pour elle de bons présages.

Elle aime qu'est-ce qu'elle aime,
Elle aime toujours ceux qui l'ont aimé,
Elle les regrette même qu'ils l'aient blessé,
Elle est ainsi,  ne retient du passé,
Que les moments rire qu' on y a semé.

Elle aime, qu'est-ce qu'elle aime,
Dans ses pensées, elle vit la bohème,
Mais à son bonheur la plus grande lacune,
Est qu'elle pleure à la vue de la lune,
Car peu de gens aiment comme elle aime.
e.



jeudi 12 avril 2012

Mon témoignage

S'offre à moi un nouveau combat,
Combat contre moi-même,
Mon regard qui dit que je n'y arriverai pas,
Déception du fait que j'ne crois plus en moi.
Combat,
 Parce-que deux fois j'ai perdu cette bataille,
Mais si je suis encore debout,
C'est que mon adversaire n'est pas de taille.
Si ma détermination est sans relâche,
J'ai si souvent été lâche.
Une période ou je broyais  la poussière
J'me souviens avoir raccourcis mes prières.
Je laissais coulé ma sève,
 Regarder tomber mes rêves.
Égoïste, je me disais,
 La vie me malmène, amen.
Chaque échec me forme,
Oui, j'en deviens plus forte,
Si des rumeurs me blessent ,
 Je n'en suis pas morte.
Si tes venins me salissent,
Tes lèvres discrètement  pourrissent,
Je prierai pour toi que tu t'en rendes comptes,
Celui qui t'utilises contre moi ,creuse ta tombe.
Contre moi,je regarde au ciel et me purifie,
Les calomnies ne peuvent déterminer qui je suis,
Que si j'en affecte ma vie.
C'est le malin qui veut brouiller mon chemin,
Faire perdre mon temps à leurs ont dit,
Pour m'éloigner de mon destin.
La seule déception que j'aurai,
Serait de baisser les bras,
Devenir comme certains,
Spectatrice  de ma mise à bas.
Mais,je n'ai point été élevé comme ça,
Battante dans l'âme,
Tu veux m'éloigner de ma route?
Tu ne te reposeras que quand tu m'abattras.
M'abattre?
Je suis immunisée,
Tu ne peux que me tourmenter,
Et tu le sais.
Me tourmenter seulement,
Seulement parce-que ma chair est faible,
Et que je laisse parfois ses pensées me tromper.
Je dis me tromper,
Pas me dévorer,
Car reprend le dessus mon esprit,
Dès-que la parole de Dieu le nourrit.
Mon esprit,
Il ne reste jamais longtemps affamé,
J'ai la grâce d'avoir sur le front,
 Sa croix tatouée.
J'écris ces mots en témoignage,
Avant que les résutats ne signent ma page.

samedi 14 janvier 2012

Le masque tombe

Maman ne me reconnais-tu pas?
Je suis restée la fille que tu prenais dans les bras
J'ai juste le coeur terrassé et blessé,
J'ai souffert en silence de ce qu'ils m'ont fait.





Naïve, toujours aussi mal dans ma peau,
Je pensais qu'il me liberaient de mes maux,
Mais j'ai découvert combien ce monde est méchant,
Sans pouvoir me consoler auprès de toi maman.

Ils m'ont menti que j'étais belle maman,
Ce que je ne voyais pas moi même en me regardant,
Je me sentais fier dans leurs yeux,
A défaut de ne pouvoir l'être dans les vôtres.

Je ne suis plus cette petite fille parfaite maman,
Quand vous parlez chaque fois, le regret je ressens,
Et la culpabilité de mon miroir me détruit,
Dans vos yeux mes efforts ne portent plus de fruit.

Ne te force plus à dire je crois en toi,
Ta bouche prononce mais moi je lis en toi,
Je ne crois plus en moi même ne t'inquiète pas,
J'ai enfin compris le deuil que fait papa.


Cercle vicieux, je cherche leurs regards aimant,
Je sais qu'ils me mentent oui je le sais maman,
Mais je profite de leurs mensonges quelques instants,
Où ils me font croire que je peux aussi être la meilleure maman.


Aussi défaillante que je suis, je te demande une grâce,
Tiens en compte ces dernières phrases,
Je t'ai toujours aimé maman,
Pardon de ne pas être celle que vous attendiez tant.

mercredi 28 septembre 2011

Il m'aime,je sais qu'il m'aime

Présents doux sur mon cou,

Me mangent ses baisers d'ange,
Ses doigt calinent mes collines.
Il m'aime,Je sais qu'il m'aime."





Ecoute oreille,
Du coeur les merveilles,
Elles frappent d'amour,
La porte Toujours
Déraisonnent mes yeux,
Des siens au bleu.


De désir halètant,
Peu à peu, il chavire.
Je m'agrippe de passion,
Grippe de sensation.


"Reste encore, ne t'en vas pas,
Reste encore, uni à moi".

Larme tendresse,
Mon plaisir dresse,
Encore me ment,
L'ivresse des sentiments,


Il m'embrasse...Il m'enlace...


Je l'aime, Je sens qu'je l'aime.

mardi 7 juin 2011

Lune vers Miel


Vous rêvez tendresse?
Vous respirez je t'aime?
Partez en voyage caresse,
Sur l'île de Mespoemes.

Dès le levé des baisers,
Un câlin déjeuner,
Au buffet Évasion,
Du restaurant Passion.

A midi montée en douceur,
Des dunes de Voscoeurs,
Vers les sommets Saveur,
De la plage Bonheur.

Puis ballade au firmament,
Du zoo Dessentiments,
Y nourrir amoureusement,
Unpeu, Beaucoup et Passionnément.

Au coucher des corps,
Souper Desirfort,
Épicé du poivre Fantasme,
Piment de vos âmes.

Le prix de ce voyage,
C'est ce gentil passage,
Temps gentiement offert,
Pour lire mes quelques vers.

mercredi 18 mai 2011

Sensuelle poésie


Toi Poésie...Toi poésie...
Je t'en supplie!
Moi dans tes bras,
Envolons nous encore une fois.

Que grâce aux douces plumes que tu perds,
Mes doigts timides caressent tes vers,
Et puissent faire vibrer tes rimes,
De mes plus grands désirs les rythmes.

Par le creux de tes yeux,
De ta figure de style bleue,
Que doucement je m'égare,
Aux profondeurs de ton art.

A moi bien agrippée,
Je veux te faire frissonner,
Que tu soupires mes sonnets,
Non chut! Je l'entends sonner.

Vite! un dernier baiser,
Puis retourne te cacher,
Comme toujours dans mon cahier,
Je saurais où te trouver...

Oh poésie, oh poésie,
je ne veux surtout pas que tu oublies,
Même si longtemps il y fait nuit,
Que je t'aime pour la vie.