Les nuages se dechaînent,Recouvrant ce soleil,
D'un gris d'affabulations,
Qui enrayent son miroir.
Enrayent cette glace même ,
Dont son regard effrayé,
Victime d'une glaciale estime de soi,
S'est vonlontairement toujours detourné.
L'air du vent peu à peu,
Surchargé du pollen de leurs propos,
Poison de ses yeux allergiques,
Terrasse son marchant de sable.
Exasperée à double tour,
Elle s'enferme loin des bruits...
Reposée, elle constate,
Que le lieu de son refuge,
Etait une prison l'ayant piegée,
Entre les barreaux de la solitude.
Paniquée elle cherche la clé,
Dans les bras des ces hommes,
Dans les bras des ces hommes,
Qui la manipulent
La gâtant de l'illusion,
D'être réellement accompagnée,
Mais l'abondonnant au premier carrefour,
Entre les quatres murs de son départ.
De nouveau face à elle-même,
Elle songe à jeter la clé,
Elle songe à jeter la clé,
Dans le plus profond des abîmes,
Et ne plus la prêter aux insensés.
Mais la serrant fort dans sa main,
Les larmes coulant sur son visage,
Elle lève les yeux vers les montagnes,
Dans l'espoir de la prêter de nouveau...
Yoka Lord

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire