J’ai appris à mes dépens,
Que dessiner du large pinceau de l’amour,
Ce monde mélancolique et si étrange qui m’entoure,
Ne s’incarnerait pas par le rendre plus joyeux,
Car aimer renferme des travers bien douloureux .
Que dessiner du large pinceau de l’amour,
Ce monde mélancolique et si étrange qui m’entoure,
Ne s’incarnerait pas par le rendre plus joyeux,
Car aimer renferme des travers bien douloureux .
Pour découvrir que cela constitue sa beauté,
Si le cœur provoque parfois de tristes larmes,
La souffrance de ce tableau détient son charme.
Il rêve bonheur à croquer cette rouge pomme,
Qu’elle anesthésie ses peines au bois dormant,
Où sept nymphes protègent ses sentiments.
Que l’amour est comme tout, bipolaire.